BVABC – Entressen 32 – 31
Nos poussins, qui jouaient à St Exupéry contre Entressen, nous ont fait vibrer ce samedi . Je dois avouer qu’il est rare de voir à ce niveau un tel suspense. Et quand la réussite est au bout, le bonheur de tous, parents, encadrants et joueurs, n’en est que décuplé.
Audrey est aux commandes pour ce match. Le premier QT est appliqué avec un effort pour respecter les consignes défensives. Par contre, il y a beaucoup de déchets sur les shoots et nos poussins terminent ce QT sur le score de 4 – 2.
Pour le second QT, et en application des règles de jeu, l’autre « cinq » du BVA , pourtant composer de pièces maitresses, entre en jeu mais ne réussit pas à contenir l’adversaire. Les consignes sont oubliées et l’adresse absente . Entressen en profite pour nous atomiser un 3 – 12 . MT 7 – 14 . En poussin, généralement 7 pt, c’est difficile à remonter.
Le 3ème QT, après un discours appuyé d’Audrey, permet à nos minots de reprendre possession du ballon et de trouver l’adresse sous les paniers qui nous faisait défaut jusqu’alors. C’est par un 16-8 que le BVA gagne ce QT et se retrouve à +1 à l’entame du dernier QT.
Entressen fait alors mieux que résister et le match s’équilibre totalement . Les 2 équipes se rendent panier pour panier et le terme du match approche… Les petits visiteurs mènent les débats de1 pt alors qu’il ne reste que quelques secondes . Souvent , en Poussin, la panique fait perdre une rencontre. .. Mais Général Audrey, par ses conseils avisés à haute voix permet une fantastique dernière remontée de balle touchée pratiquement par tous les joueurs et qui se conclue par un dernier panier presque sur le buzzer. Et nos poussins gagnent de 1pt . (QT 9-9)
Match 32 – 31Un grand bravo à Titouan, Luca, Sacha, Igor, Lucile, Tanguy, Tom, Fabien, Kyllian, et coach Audrey d’avoir su lancer de la plus belle des manières un bel après-midi de basket, malgré le froid environnant . Les benjamins et les seniors région ont parfaitement relayé nos poussins. ….|{}|
Par contre le dimanche fut plus difficile, mais c’est une autre histoire.
Serge